SCHUBERT, MON FILS est un spectacle dont le point de départ, pour le duo pianistique ClairObscur, est la fantaisie en fa mineur D940.
En effet, écrite la dernière année de sa vie, cette fantaisie est une œuvre à part, une œuvre testament, un véritable voyage de la vie à la mort.

J'ai donc imaginé une narration musicale. 
Un narrateur incarnant le père du compositeur, à savoir Franz Léopold Schubert. 
Un piano dont le discours musical convoque le compositeur, ponctue, accompagne et surtout décuple l'émotion suscitée par l'évocation de sa vie.

Nous sommes en 1828, Franz Schubert le compositeur de l'intime, meurt précocement à l'âge de 31 ans. Son père rédige le faire-part de décès et à l'occasion de l'inventaire de la succession, découvre davantage son fils par le biais de son journal intime et de ses correspondances.

A la narration théâtralisée: Éric Duquesne 
Au piano: Le duo ClairObscur 
( Anne Wischik et Emmanuelle Maggesi) 
Écriture et conception: Anne Wischik à partir des correspondances et journaux intimes.